Alors que son père mettait un point d’honneur à ne rien laisser au hasard, le jeune Henri VIII préfère se divertir. Il délègue le plus possible à ses ministres, ne réalisant pas qu’il leur octroie un pouvoir considérable. Pour compliquer les choses, sa femme Catherine d’Aragon ne lui donne pas l’héritier masculin qui assurerait la continuité de la dynastie Tudor. Amoureux d’Anne Boleyn, une suivante de son épouse, il tente de faire annuler son mariage. Face au refus du pape, il rompt avec Rome et obtient le statut de chef suprême de l'Église d'Angleterre, provoquant un schisme.