Septembre 1944 : Après la reddition des miliciens et devant l'impossibilité de les transporter vers Besançon pour leur procès, Bériot décide de monter une cour martiale dans l'école de Villeneuve. Il demande à Antoine et Suzanne d'accompagner Anselme comme juges, alors qu'Edmond est désigné procureur et Daniel Larcher avocat de la défense. Alors que le procès s'engage sur le sort qui sera réservé pour chaque milicien, Bériot reçoit de son supérieur l'ordre de truquer le procès.